04.05.2022 - 13.05.2022

Hedda Gabler

théâtre . Grand Théâtre
Hedda Gabler
lieu Grand Théâtre
langue
En français
durée
2h20 (pas d’entracte)
introduction
Introduction par Monsieur Ian De Toffoli une ½ heure avant chaque représentation (FR).

mentions spécifiques

en tournée

Après le grand succès de la saison dernière, Hedda Gabler, sans doute l’œuvre d’Henrik Ibsen la plus accomplie et actuelle dans sa vérité humaine, est repris aux Théâtres de la Ville.

Hedda Gabler

130 ans après sa création, les constats et interpellations de ce drame n’ont rien perdu de leur pertinence: quelle est la place d’une femme dans la société, dans sa famille? Ne peut-elle exister par elle-même? Ibsen va même plus loin en interrogeant la cruauté d’Hedda, sa quête du beau, sa recherche d’un sens introuvable, son impossibilité à vivre.

Un jeune couple rentre de son voyage de noces avec des perspectives souriantes: une belle maison, une reconnaissance professionnelle pour Jørgen, le mari, sociale pour Hedda, l’épouse. Pour leurs proches aussi: la consécration littéraire pour Løvborg, une vie qui lui appartienne enfin pour Thea. Hedda Gabler est une tragédie humaine magnifiée dans un texte à la construction magistrale.

Entourée d’une équipe de comédien.ne.s talentueux.ses, dont Myriam Muller dans le rôle de Hedda Gabler, Marja-Leena Junker, personnalité incontestable du théâtre au Luxembourg – comédienne, metteure en scène et longtemps directrice du Théâtre du Centaure – a réussi à insuffler une force nouvelle à ce grand drame ibséen.

«Ainsi, Marja-Leena Junker livre cet épineux débat, dans une mise en scène précise et épurée, non sans humour et cruauté, dans la ligne droit du texte.»
Godefroy Gordet
d’Lëtzebuerger Land
«On l’aura compris, au cœur de cette petite-bourgeoisie qui s’anime mollement dans des ronds de jambes, Hedda prend toute la place, tire toutes les ficelles avant de quitter ce jeu de marionnettes dans lequel elle ne trouve pas sa place. Sous cette lumière d’un blanc aveuglant, la comédienne Myriam Muller, superbe, joue la mine triste, sans sourire ou presque, cynique et manipulatrice dans son rapport aux autres, désemparée et l’âme ruinée quand elle se retrouve seule.»
Grégory Cimatti
Le Quotidien

distribution

Traduction de
François Regnault
Mise en scène
Marja-Leena Junker
Scénographie
Christian Klein
Costumes
Virginia Ferreira
Dramaturgie
Akse Pettersson
Lumières
Teemu Nurmelin
Composition musique
Sonja Neuman
Création musicale
Joël Mangen
Assistanat à la mise en scène
Claire Wagener
Avec
Claire Cahen, Nicole Dogué, Tom Leick-Burns, Hana Sofia Lopes, Myriam Muller, Valéry Plancke, Serge Wolf
Production
Les Théâtres de la Ville de Luxembourg

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