mentions spécifiques
Utopia / Les Sauvages
Avec 9 danseurs.ses & 1 musicien
Cycle « Vivre ensemble » / Focus « Nouvelles dramaturgies »
Utopia / Les Sauvages est un spectacle débordant de couleurs, de vitalité et d’humanité, à l’image de son créateur DeLaVallet Bidiefono, accueilli pour la première fois au Grand Théâtre.
Avec sa troupe de huit danseurs et danseuses et un musicien, le chorégraphe propose un spectacle d’une très grande force. Des hommes, des femmes dansent, tombent et se relèvent, toujours. Ils et elles racontent l’histoire du chorégraphe congolais, et celle d’une humanité qui a bien du mal à relever le défi du vivre ensemble. Cette danse de l’énergie, c’est toute l’Afrique qui nous l’apporte, une Afrique-Monde au croisement de toutes les civilisations, l’Afrique que l’on retrouve à New York, à Paris, à Londres, à Brazzaville. Sur scène, on se croise, on se toise, on s’admire, on applaudit sa différence à chaque pulsation !
EN Between wars in Congo, DeLaVallet Bidiefono left his home town of Pointe-Noire for a new life in the capital of Brazzaville. There in 2005 he set up his Baninga dance school and company, where he would train with his young dancers on morning runs along the Congo River. He developed a powerful physical language to a strong percussive beat, incorporating traditional and contemporary cultural influences. From Freedom of Speech to Monstres / On ne danse pas pour rien and Beyond, his muscular works exude jumping energy, vitality and intensity. In his first ever visit to Luxembourg, Bidiefono presents his latest work, Utopia / Les Sauvages, for nine dancers (including himself) and one musician. With drums as their beating heart, the performers act out the struggles of a humanity that cannot live in harmony.
DE Utopia / Les Sauvages ist ein Tanzstück, das vor Vielfalt, Vitalität und Menschlichkeit nur so strotzt – genau wie sein Schöpfer DeLaVallet Bidiefono. 2005 hat der Choreograf und Tänzer in Brazzaville die Kompanie Baninga gegründet, eine Kompanie, die zugleich eine Schule ist und dem Tanz einen fixen Ort in der kongolesischen Hauptstadt verschaffen möchte. Gemeinsam mit acht anderen TänzerInnen und einem Musiker besucht Bidiefono nun erstmals das Grand Théâtre, um die große Kunst seines Ensembles zu präsentieren. Männer und Frauen tanzen, fallen und stehen wieder auf. Sie erzählen die Geschichte einer Menschheit, die Mühe damit hat, die Aufgabe des Zusammenlebens zu meistern, aber nie aufgibt. Der kraftvolle Tanz der Kompanie zeigt uns ein Afrika an der Schnittstelle aller Kulturen, ein Welt-Afrika, das Grenzen überwindet.