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nudité
KING
With 11 performers
Shaun Parker & Company, compagnie de danse australienne qui s’est imposée sur la scène internationale pour ses formes chorégraphiques inventives et stimulantes, revient au Luxembourg, après Am I (2015), avec sa création KING, qui mêle danse et musique.
KING est une collaboration entre le metteur en scène et chorégraphe Shaun Parker et l’auteur-compositeur et célèbre chanteur bulgare Ivo Dimchev, qui scrute la masculinité sous tous ses angles. Dans un univers théâtral qui tient à la fois du cocktail lounge et de la jungle, KING interroge la notion de pouvoir masculin et de dynamique de groupe entre hommes. Le spectacle montre les extrêmes du soi-disant « monde des hommes » – machisme, violence, mais aussi générosité – accompagnés avec humour et tendresse par les chansons en direct de Dimchev. Une composition évocatrice et hypnotisante.
EN Toxic masculinity is the reason for this visit by Australian choreographer Shaun Parker and his company to Théâtres de la Ville. King is a bold dance theatre performance for an all-male troupe of ten, created by award-winning Parker in collaboration with Bulgarian singer-songwriter Ivo Dimchev. For the full 70 minutes, Dimchev contributes a live cabaret of his own compositions, by turns folk-tinged, operatic and Weimar inspired. He sings of love from the front of the stage, later retreating to his own spotlit platform at the back. The dancers, meanwhile, dressed in black-tie fill the jungle-fringed ballroom set, grouping and regrouping with military precision.
DE KING ist eine Kollaboration zwischen dem preisgekrönten Regisseur und Choreografen Shaun Parker und dem renommierten Songwriter und Sänger Ivo Dimchev. Auf einer Bühne, die teils Cocktailbar, teils Dschungel ist, hinterfragt das Stück männliche Macht, Kontrolle und Gruppendynamik. 70 Minuten lang werden die Gesten und Spannungslinien des Machismos durchgespielt, humorvoll und zärtlich untermalt von Dimchevs Liederzyklus. Von albernen Streichen bis hin zu Gewalt und Vernichtung, von Angeberei und Mobbing bis hin zu Liebenswürdigkeit sehen wir die Extreme der so genannten Männerwelt und werden eingeladen, über ihre allzu oft brutalen Folgen nachzudenken.
